• Home
  • ACTUALITÉS
  • Qui-sommes nous?
  • Aids
  • Nos activités
  • Contact Us

Top

  • Home
  • ACTUALITÉS
  • Qui-sommes nous?
  • Aids
  • Nos activités
  • Contact Us

Aider-les

  • Aidez-les à continuer

dernières nouvelles

  • Une année très sombre pour les enfants iraniens
  • IRAN: l’obligation de rendre des comptes en réponse aux empoisonnements dans les écoles
  • Blacklister les pasdarans pour leur rôle dans la répression des journalistes
  • Iran : Trois nouvelles femmes journalistes emprisonnées à Téhéran, soit 55 arrestations depuis le début des manifestations
  • IRAN:26 enfants et adolescents iraniens tués par les forces de sécurité
  • Soulèvement en Iran : Appel au rassemblement à Paris
  • La jeunesse iranienne a brisé le charme de la peur
  • Des milliers d’arrestations en Iran pour la onzième journée de manifestations nationales
  • IRAN: L’Iran, au bord d’une révolution
  • IRAN: ONU et Iraniens de Suisse inquiets après le décès de Mahsa Amini

minorité religieuse

  • Une année très sombre pour les enfants iraniens
  • IRAN: l’obligation de rendre des comptes en réponse aux empoisonnements dans les écoles
  • Blacklister les pasdarans pour leur rôle dans la répression des journalistes
  • Iran : Trois nouvelles femmes journalistes emprisonnées à Téhéran, soit 55 arrestations depuis le début des manifestations
  • IRAN:26 enfants et adolescents iraniens tués par les forces de sécurité

Projets

  • Exposition et conférence - Août 2018
  • Grand Rassemblement pour un Iran Libre
  • Exposition: Droit de l’homme en Iran
  • Exposition - Interventions-témoignages à la mairie du 2e arr. de Paris
  • Jean-François Legaret: « Le régime en Iran cherche à effacer les traces de ses massacres »

IRAN:60 millions d’Iraniens sous le seuil de pauvreté

Published: 25 September 2020

Selon un économiste iranien, en raison de la mauvaise gestion de l’économie par le régime, 60 millions d’Iraniens vivent aujourd’hui en dessous du seuil de pauvreté.

Une économie en échec
Ibrahim Razaghi a déclaré sur le site Internet officiel, Tabnak, qu’un « manque systématique de supervision de l’économie » a conduit à « une pauvreté extrême, un chômage généralisé ». Il a affirmé que de nombreuses personnes sont incapables de payer leur loyer. Et comme on pouvait s’y attendre, les riches s’enrichissent de plus en plus. » C’est, selon lui, « la menace la plus importante pour l’Iran. »

Razaghi a noté qu’environ 30 millions d’Iraniens sont au chômage, soit près d’un tiers du pays. En outre, ceux qui travaillent ne gagnent pas assez pour vivre. Par conséquent, 60 millions d’Iraniens vivent sous le seuil de pauvreté, de sorte que la situation économique est « très mauvaise. »

Read more: IRAN:60 millions d’Iraniens sous le seuil de pauvreté

IRAN//La justice des mollahs réclame l’exécution d’Afkari en « représailles »

Published: 12 September 2020

Le porte-parole du pouvoir judiciaire en Iran a demandé à ce que la condamnation à mort du manifestant Navid Afkari soit appliquée en « représailles » réclamées par la famille de l’agent décédé.

En effet, le régime continue de prétendre que le jeune lutteur est coupable de meurtre. Navid a clamé son innocence. Il bénéficie du soutien d’hommes politiques du monde entier ; le président américain Donald Trump, et des athlètes et lutteurs célèbres en font partie.

En réaction à la levée de bouclier dans le monde, Gholamhossein Ismaili s’est exprimé lors d’une conférence de presse.

« La sentence de Navid Afkari n’est pas une exécution. C’est une punition. Bien que de même nature, elles sont différentes selon la loi parce qu’il a tué une personne », a déclaré le porte-parole de la magistrature.

« Afkari a tué une personne innocente. Si les gens cherchent une mesure humanitaire, comment se fait-il que personne ne dise que l’individu tué est innocent et a été assassiné devant chez lui ? »

La loi en Iran autorise la famille de la victime à choisir le châtiment
Selon la loi en Iran, la famille d’une victime d’homicide a le dernier mot sur la vie ou la mort de l’accusé. C’est le principe des « représailles » ou du Talion.

« C’est le droit de la famille de la victime de décider du châtiment », a souligné Ismaili.

Il a également mis l’indignation internationale sur le compte de « l’ennemi »

Read more: IRAN//La justice des mollahs réclame l’exécution d’Afkari en « représailles »

Le régime iranien condamne 8 Bahaïs à 11 ans de prison

Published: 12 September 2020

En Iran, un tribunal vient de condamner huit citoyens bahaïs à un total de 11 ans et 3 mois de prison dans une province de l’Est de l’Iran.

Arrestation de 8 Bahaïs
Selon l’agence de presse des droits humains -HRANA- huit hommes et femmes ont été identifiés. En effet, il s’agit d’Atieh Salehi, Nasrin Ghadiri, 60 ans, Banafsheh Mokhtari, Farzaneh Dimi, Arezu Mohammadi, Ataollah, Roya, et Saeed Malaki. La 4ème section de la cour d’appel du sud du Khorasan a jugé toutes ces personnes. Initialement, ils ont été condamnés à un total de 51 ans et 8 mois de prison.

Le verdict, rendu le 7 septembre par la cour d’appel, a condamné Nasrin Ghadiri, Banafsheh Mokhtari et Farzaneh Dimi à 15 mois de prison chacun. Ils ont été accusés d’ « appartenance à l’organisation illégale Bahaïe. Ce qui constitue une menace pour la sécurité nationale. »

Arezu Mohammadi, Atieh Salehi, et Ataollah, Roya et Saeed Malaki ont été condamnés à 18 mois de prison chacun pour la même accusation.

Read more: Le régime iranien condamne 8 Bahaïs à 11 ans de prison

Iran Human Rights Monitor : Les droits humains en Iran en août 2020

Published: 12 September 2020

Le mois d’août a été marqué par une pression accrue sur les prisonniers politiques et l’imposition de peines sévères. Prenons les cas des exécutions, des flagellations et de longues peines de prison imposées aux manifestants.

Existe-t-il encore des droits humains en Iran ?
Cette escalade de la répression a été considérée comme une crise dans la situation actuelle des droits humains en Iran. C’est aussi une tentative du régime au pouvoir de faire taire toute voix dissidente.

Ainsi, le régime iranien a continué à prononcer des condamnations à mort injustes contre les manifestants.

Condamnations à mort
Actuellement, au moins 20 prisonniers politiques et idéologiques sont condamnés à mort dans les prisons du régime. Dix d’entre eux font partie des manifestants des soulèvements de décembre 2017, juillet 2018 et novembre 2019.

Ce mois-ci, le régime iranien a fait tout son possible pour augmenter la pression sur les prisonniers politiques et les manifestants détenus. Cette pression s’est intensifiée malgré la pandémie du coronavirus, menaçant la vie des prisonniers.

La pandémie du coronavirus
Dans la plupart des prisons, le nombre de personnes souffrant de maladies coronariennes augmente de jour en jour. En outre, le nombre de prisonniers ayant contracté le virus augmente quotidiennement.

Alors que le régime tente de camoufler la situation par divers scénarios et de dissimuler le nombre réel de patients, les prisonniers sont privés de matériel sanitaire et médical.

Reporters sans frontières a publié une déclaration le 21 août sur la situation catastrophique de la Covid-19 dans les prisons iraniennes.

Read more: Iran Human Rights Monitor : Les droits humains en Iran en août 2020

IRAN-20 millions d’Iraniens vivent dans des « zones sombres »

Published: 12 September 2020

Ces dernières années, la question des migrations des Iraniens a été soulevée à de nombreuses reprises. Il s’agit de migrations de village à ville, de ville à village, de village à village ou de petites villes à grandes villes du pays. En premier lieu, la migration vers les zones urbaines est toujours au premier plan. Toutefois, les résultats des recensements de ces dernières années montrent l’émergence d’une nouvelle tendance de migration interne en Iran, appelée migration inverse.

Des villes surpeuplées et la campagne oubliée
Les statistiques montrent qu’au cours des cinq dernières années, 4 709 149 personnes ont migré à l’intérieur du pays. La part des zones urbaines est de 84,41 % et celle des destinations rurales de 15,6 %. Selon les mêmes statistiques, environ 33 000 villages et hameaux du pays sont en train de devenir inhabités. Bien que certaines institutions annoncent le début d’une migration inverse dans le pays, les statistiques ne confirment pas une telle situation. Ainsi, seuls 15,6 % des migrations totales (736 253 personnes) ont eu lieu vers les villages.

Read more: IRAN-20 millions d’Iraniens vivent dans des « zones sombres »

IRAN//Manifestation sanglante de villageois contre la démolition de leur village

Published: 30 August 2020

Les forces de sécurité ont tiré sur les habitants du village de Hazrat-e Abolfazl, avec des fusils à plomb et des gaz lacrymogènes, à l’occasion de manifestations contre la démolition de leur village, mercredi 26 août 2020.

Le village d’Abolfazl se situe à Ahwaz, capitale de la province du Khuzestan en Iran. Les villageois protestaient contre la destruction de leurs maisons et la confiscation de leurs terres par l’un des Bonyads les plus riches d’Iran appartenant au Guide suprême du régime, la Fondation Mostazafan (Fondation pour les opprimés).

Selon des sources locales, des manifestants ont été arrêtés.

Les forces de la sécurité tirent des balles sur les manifestants
Alors que des vidéos disséminées sur les médias sociaux montrent des blessures par balles sur les corps de plusieurs des habitants d’Abolfazl, Mohsen Dalvand, le commandant des forces de police d’Ahwaz, cité par l’agence de presse officielle Fars, dément « avoir tiré sur les habitants du village d’Abolfazl. »

Pendant ce temps, dans au moins une vidéo d’affrontement dans le village d’Abolfazl, on voit un agent des forces de sécurité du régime des mollahs, tirer. On entend le bruit des coups de feu, aussi.

En outre, dans d’autres vidéos, plusieurs villageois montrent leurs blessures par balle.

Dalvand a affirmé que « des opportunistes avaient fabriqués les vidéos ». Il ajoute qu’elles visaient à créer une atmosphère négative à propos de l’incident sur les médias sociaux.

Il a menacé ceux qui ont partagé les vidéos de les poursuivre « pour avoir troublé le calme et la sécurité de la population et causé des inquiétudes au sein de la population. »

Read more: IRAN//Manifestation sanglante de villageois contre la démolition de leur village

Les pasdarans arrêtent deux convertis chrétiens

Published: 30 August 2020

Les pasdarans ont arrêté deux convertis chrétiens dans des villes du nord-ouest et du sud-ouest de l’Iran. Les deux hommes ont été emmenés dans des endroits inconnus.

Une arrestation en force
Ils ont arrêté Shirku Siavoshi, 37 ans, à son domicile de Sardasht, le 22 août. Il a été emmené dans le service du renseignement des pasdarans (IRGC) dans la ville. Par ailleurs, il été battu lors de son arrestation. Non seulement le domicile du converti chrétien a été fouillé mais certains de ses effets personnels – dont son ordinateur portable et ses disques durs – ont été saisis.

Un autre converti chrétien, Mehdi Ibrahimzadeh, originaire aussi de Sardasht, a été arrêté dans la province de Fars, dans le sud-ouest de l’Iran. Ce converti chrétien de 37 ans a été emmené dans un lieu inconnu.

On ne sait pas exactement où les deux hommes sont actuellement détenus. Cependant certaines sources affirment qu’ils ont été arrêtés par les pasdarans.

Les arrestations se multiplient
Il y a moins de deux semaines, un tribunal de Téhéran a condamné trois convertis chrétiens à un total de 35 ans de prison.

Selon la loi iranienne, l’évangélisation, le travail missionnaire et la conversion au christianisme peuvent constituer une infraction punie de plus de 10 ans de prison. La distribution de littérature chrétienne en persan est actuellement illégale en Iran.

Read more: Les pasdarans arrêtent deux convertis chrétiens

IRAN/De jeunes Iraniens abattus pour non-présentation de permis de conduire

Published: 30 August 2020

Vendredi 21 août 2020, les forces de sécurité officielles du régime d’Iran ont abattu deux jeunes motards à Shahriar. Shahriar est une ville située à l’ouest de la capitale, Téhéran.

Alireza Jafarlou et Alireza Goudarzi revenaient du jardin de M. Jafarlou à 4 heures du matin. La veille, Alireza Goudarzi travaillait sur le réseau et les installations électriques. Soudain, les agents des forces de sécurité du régime iranien leur ont demandé de présenter leur permis.

Comme M. Jafarlou n’avait pas apporté son permis, il a tenté de s’enfuir. L’agent de la SSF a réagi en lui tirant dans le dos. Alireza Goudarzi, qui était sur la moto avec lui, a été abattu d’une balle au niveau de la taille. Il est mort sur le coup. Alireza Jafarlou a reçu une balle à la taille et à l’épaule. La balle a transpercé son poumon. Dans cet état, l’agent du SSF lui a passé les menottes, l’a battu à coups de matraque et lui a donné des coups de pied et des coups de poing.

Après avoir tué le premier, le second meure de ses blessures
Des témoins oculaires ont déclaré avoir entendu les coups de feu et s’être précipités pour aider à emmener le blessé à l’hôpital parce qu’il demandait de l’aide. Mais l’agent de la SSF a brandi son arme, puis il a menacé les habitants : « Si quelqu’un approche, je lui tire dessus aussi. »

L’ambulance est arrivée au bout de 40 minutes et M. Jafarlou a fini par mourir.

Les familles de ces victimes ont du attendre que le bureau du médecin légiste leur annonce le résultat des autopsies. Les familles n’ont pas récupéré les corps.

M. Jafarlou est mort de ses blessures par balle. En outre, les coups violents qu’il a aussi reçus, ont provoqué une hémorragie interne.

Read more: IRAN/De jeunes Iraniens abattus pour non-présentation de permis de conduire

IRAN-Trois frères condamnés à mort, au fouet et à la prison

Published: 30 August 2020

Le tribunal révolutionnaire de Chiraz a condamné un manifestant à mort, à la prison et au fouet, tandis que ses deux frères ont été condamnés à 81 ans de prison et au fouet pour leur participation aux manifestations de 2018.

Trois frères condamnés pour leur participation aux manifestations de 2018
Les trois hommes ont été arrêtés pour avoir participé aux manifestations nationales en août 2018.

Navid Afkari Sangari, 27 ans, a été condamné à mort, à six ans et six mois de prison, et à 74 coups de fouet pour le meurtre d’un agent de la sécurité.

Son frère Vahid, 35 ans, a été condamné à 54 ans et six mois de prison, 74 coups de fouet, pour complicité de meurtre. Par ailleurs, le troisième frère, Habib, 29 ans, a été condamné à 27 ans et trois mois de prison et 74 coups de fouet.

Un autre manifestant accusé dans cette même affaire, Saied Dashtaki, 22 ans, a été condamné à plus de 21 ans de prison et 74 coups de fouet.

Ils n’avaient pas de casier judiciaire
La cour suprême a confirmé les peines et leur demande d’appel a été rejetée.

Navid Afkari était champion de lutte sans casier judiciaire. Ses deux frères et lui ont participé aux manifestations de 2018, « de sorte que la justice a considéré la participation des trois frères comme l’organisation d’un groupe. »

Read more: IRAN-Trois frères condamnés à mort, au fouet et à la prison

Les exécutions perpétrées par l’Iran à la fin du mois de juillet 2020

Published: 03 August 2020

A Oroumieh, le régime des mollahs iraniens a procédé à l'exécution de deux détenus.

Le lundi 27 juillet 2020, deux détenus condamnés à mort pour « meurtre » ont été exécutés à la prison d'Oroumieh en Iran.

Il s'agit d'Ali Abid, marié et emprisonné dans le quartier 2-1 et d'Amir Hossein Qahrian, âgé de 24 ans, qui se trouvait dans le « quartier des jeunes » de la prison d’Oroumieh.

Les deux hommes ont été transférés en isolement à la prison d'Oroumieh, le dimanche 26 juillet, pour leur exécution. (Sources : Les militants des droits de l'homme en Iran, Réseau des droits de l'homme du Kurdistan - 27 juillet 2020)

Trois détenus ont été exécutés à la prison de Rasht à Lakan
Les 4 et 25 juillet 2020, trois prisonniers ont été exécutés à la prison de Rasht à Lakan. Les trois hommes ont été accusés de meurtre et condamnés à mort.

Morteza Refahee, âgé d’environ 40 ans, marié et père d'une fille de 14 ans et d'un garçon de 9 ans a été exécuté le samedi 25 juillet.

L'un des deux prisonniers exécutés le 4 juillet n'a pas été identifié et le nom de famille de l'autre est Vatan Parast. (Les militants des droits de l'homme en Iran - 30 juillet 2020)

Read more: Les exécutions perpétrées par l’Iran à la fin du mois de juillet 2020

Page 12 of 117

  • Prev
  • 7
  • 8
  • 9
  • 10
  • 11
  • 12
  • 13
  • 14
  • 15
  • 16
  • Next
  • End
Top | + | - | reset | RTL | LTR
Copyright © Youmagazine 2023 All rights reserved. Custom Design by Youjoomla.com
ACTUALITÉS